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TRAIL DES VIGNES DE TILLIERES : à découvrir …

Vous aimez le Muscadet ? oui ? alors , ce trail est fait pour vous ! Entre Nantes et Cholet , Tillières est le pays des vins de Loire. Le Trail des Vignes propose 3 distances : 9.5 km,19 km et 29 km. Départ à 14h30 le samedi .Grosse chaleur en début de parcours qui est commun entre les 2 distances les plus longues; petites routes, chemins dans les vignes , halte dans des caves pour déguster du jus de raisin pétillant bien frais, champs de vaches un peu cabossés dans lesquels il est difficile de courir,chemins bien pentus dans les bois pour le 29 km , un petit passage dans la boue jusqu’aux chevilles ( ! ) et on retrouve le même parcours que l’aller pour finir à travers les vignes à nouveau . Bénévoles et cavistes sympas. Pas de grosse foule pour les différentes distances : 240 pour le 19 km et 151 pour le 29 km. Ces parcours nous font donc découvrir des paysages différents de notre région et c’est intéressant .  en savoir plus →

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Des Cacous à Chantepie

Dimanche, plusieurs Cacous ont défendu les couleurs du club au milieu de 2 100participants . Temps correct pour la saison : temp 11°C , peu de vent , pas de pluie  : l’idéal pour courir si on exclut la difficulté de slalomer entre les personnes ( je parle pour moi qui suis plutôt au milieu du peloton ! ) . Stéphane et Sébastien ont filé à grande vitesse pour finir en dessous de la barre des 40 minutes. Bravo à eux ! Bruno a fait de la prévention en portant fièrement le maillot “coureurs ,soyons visibles” et il a été bien remarqué : il est content ! Sur cette photo , il manque Philipe M. dont la fille a aussi participé à la course enfants : une future graine de championne !  en savoir plus →

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Trail Nocturne du Petit Fougeray

Le CAC au Petit Fougeray Belle participation pour le Trail du Petit Fougeray avec 11 Cacous, une parité presque parfaite et 2 sympathisants sous nos couleurs. Nous nous sommes élancés dans la nuit sur un parcours de 12Km avec Maître Eric, coach de circonstance pour nos féminines, paraîtrait qu’elles en redemandent…  en savoir plus →

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Récit de course : UTPMA 2015

Après de nombreuses demandes, voici un compte rendu sur l’UTPMA 2015, (du moins, ma vision et mon ressenti). Inscription L’aventure commence fin 2014, lorsque notre bon président (Guy C.) propose de participer avec lui, à un Ultra en Auvergne  (UTPMA 105km 5600m D+ ). Pour lui, ce ne sera qu’une course préparatoire en vue de participer au Trail bourbon à la Réunion. Pour nous (Stéphane B. et moi-même) ce serait notre 1er ultra à 3 chiffres. Personnellement, j’hésite quand même avant de m’inscrire, la distance et le dénivelé annoncés (105km pour 5600m D+) me font un peu peur. Grosse question existentielle. Comme en course à pied  il ne faut pas trop réfléchir : je m’inscris d’abord, pour le reste je verrai plus tard. L’inscription est faite dès mi-décembre, nous sommes donc 3 cacous inscrits à challenge, accompagnés par une grosse délégation de l’AS Orange Cesson. (C’est d’ailleurs eux qui se chargeront d’une grosse partie de la logistique comme l’hébergement, la réservation de resto… et là je dois dire que c’est royal ! Tout ça sans compter la super ambiance du groupe ! )   Préparation Le plus facile est fait, il ne reste plus qu’à courir maintenant. La course à lieu le 20 Juin 2015, il reste 6 mois de préparation pendant lesquels nous réaliserons quelques courses préparatoires Trail des corsaires (64km), Trail des 3 chapelles (43km), Trail de Guerlédan (56km) ainsi que pas mal de séances longues. Beaucoup de kilomètres en perspective. Fin Mai 2015, malgré les courses réalisées et les kilomètres parcourus à l’entrainement, je ne sais toujours pas comment je pourrai parcourir 105km (sans compter le dénivelé qui me parait énorme). En juin, l’échéance se rapproche et la pression monte d’autant. Le matériel est prêt depuis quelques temps, mais la question  “bâtons ou pas” se pose encore. Je décide finalement d’en acheter même si je ne sais pas m’en servir. Je n’aurai pas le temps de faire de séance spécifique pour apprendre. On verra sur place… De toute façon, depuis début juin, ce n’est pas mon problème principal. Je ne sais finalement pas si je pourrai participer à la course car une douleur au pied m’empêche de courir. C’est donc repos obligatoire et une question qui me taraude : Est-ce vraiment la peine d’aller jusqu’à Aurillac pour ne finalement pas courir? Poussé par mes 2 compères, je décide tout de même de faire le voyage et de tenter de prendre le départ, mais sans être vraiment convaincu. Je me dis que je profiterai tout de même de l’ambiance.   L’avant course Nous partons la veille pour un périple d’un peu plus de 600km. A 4 dans la voiture, (Guy C., Stéphane B., Yvann un ami de Guy et moi-même), l’ambiance est bonne, ça commence déjà à se chambrer avec d’autres coureurs de l’AS Orange. Nous arrivons en fin d’après-midi à Aurillac. Nous retrouvons certains groupes de l’AS Orange déjà arrivés à l’internat où nous serons logés et nourris quelques jours. A l’heure du repas, nous dinons au relais d’Alsace à Aurillac. Ah l’Alsace! Bien connue pour ses spécialités diététiques. Au menu pâtes et bière (voir 2 bières et du vin pour certains). C’est l’heure des défis et des provocations entre coureurs. Les grandes gueules d’Orange sont en pleine forme. De retour, à l’internat, il faut penser au repos : dernière nuit avant le départ. Je ne sais pas si c’est la digestion, le stress ou les ronflements de Guy, mais je ne dormirai pas bien. Au petit matin je me réveille complètement décalqué! Après le petit déjeuner, nous partons chercher nos dossards au centre des congrès. On nous y propose des dégustations de produits locaux : pâté et jambon. -Dossards- -Test du Podium : pas fait pour nous, trop bas de plafond- Le déjeuner est dans la même lignée : bière et pizza. Ah diététique quand tu nous tiens ! De retour à l’internat, l’heure de la sieste est vraiment la bienvenue. Repos obligatoire pour tout le monde. Je ne dors pas vraiment profondément, mais c’est toujours ça de pris. Nous repartons ensuite pour le centre d’Aurillac et le briefing d’avant course, suivi de la traditionnelle pasta-party. -Briefing : chercher un crâne connu- -Pasta-party au soleil- Ensuite c’est une longue attente avec le stress qui monte.   La course Quelques temps avant minuit, nous rejoignons le départ en tenue, ça y est, nous y sommes. Nous sommes un peu plus de 500 à nous amasser sur la ligne de départ. Je n’ai pas couru depuis 3 semaines, avec toujours cette douleur au pieds. Je ne sais pas jusqu’où je vais pouvoir aller J’espère au moins pouvoir rallier le 1er ravitaillement à 17km. -Avant le départ- A minuit, compte à rebours et départ. Je ne m’enflamme pas, je laisse filer Stéphane, je ne pense pas, de toute façon, avoir ce qu’il faut pour le suivre. Guy part à son rythme sans doute un peu derrière, je pense peut-être le revoir plus tard. Je ne sens pas ma douleur au pied, mais je reste tout de même méfiant. Nous laissons rapidement derrière nous les lumières d’Aurillac, et nous nous enfonçons dans la nuit, la lampe au front. Si c’est la foule au départ, les écarts se creusent et l’on se retrouve rapidement en petits groupes plus réduits. Quelques kilomètres passent. Nous sommes quelques fois obligés de passer par dessus des clôtures en escaladant des sortes de gros chevalets en bois. C’est lors d’un de ces passages que quelqu’un m’interpelle par derrière : “Ben qu’est ce que tu fais là mon Seb?”. C’est Stéphane que j’avais dû dépasser sans m’en rendre compte. (Un arrêt technique?) Je reste donc avec lui. Nous passons rapidement le 1er ravitaillement à Velzic avec déjà 17km au compteur. Pour l’instant ça tient. Nous avançons bien dans la vallée de la Jordane. De toute part, nous entendons l’eau ruisseler, sans doute à cause des pluies tombées la veille. Mes chaussures ne tardent pas à ressembler à des piscines. En remontant sur les crêtes, nous enfilons nos vestes. Nous étions partis en T-shirt à minuit, mais en plein cœur de la nuit, le vent frais qui s’est levé nous oblige à nous couvrir. Le terrain devient très très glissant et en descente cela devient vraiment casse-g….. Nous arrivons au ravitaillement de Mandailles (37km) avec les premières lueurs du jour. Nous courons depuis 5h40. Nous nous ravitaillons un peu plus longuement. Le café chaud nous revigore. Nous repartons et nous sortons les bâtons qui jusqu’à maintenant étaient restés accrochés sur le sac. Après Mandailles, ça monte sec  : une montée interminable de 800 D+ nous attend. Vitesse moyenne : 3.6km/h et même à ce rythme c’est dur! Même si je n’avais jamais utilisé les bâtons auparavant, je me rends bien compte de leur utilité dans de telles montées. Maintenant que le jour est bien levé, nous pouvons enfin admirer les superbes paysages d’autant plus que nous suivons des crêtes en direction du puy Mary. Au pied du puy Mary (Pas de Peyrol), nous nous arrêtons un peu et nous retrouvons Yvann. Il semble moins bien dans les côtes mais très bon dans les descentes. Au final, nous nous suivons. Direction le sommet du puy Mary, puis le puy de Peyre Arse. A 55km, nous commençons la descente vers le Lioran. 500m D- sur 2.5km. Ouff, ça fait mal aux cuisses. Nous arrivons à la station du Lioran (60km) avec son ravitaillement. Nous entendons la sono, c’est bon…. Et non, on nous renvoie sur une dernière grosse côte, sinon ce serait trop facile. Visiblement, le ravitaillement ça se mérite. Nous nous ravitaillons bien et nous nous posons un peu. C’est bon, mais il est d’autant plus difficile de repartir. Nous courons depuis 11h, je n’avais personnellement jamais couru aussi longtemps, et j’ai sans doute déjà explosé mon record de D+ cumulé lors d’une course. Nouvelle difficulté, nous devons monter au sommet du puy Griou puis redescendre. Cette partie s’apparentera plus à de l’escalade qu’à du trail. Je n’en ai toujours pas compris l’intérêt. -Puy Griou- Je commence à avoir vraiment très mal sous les pieds. (  J’aurais dû changer de chaussettes ? ;o)   ). En dévers et en descente la douleur empire. Je serre les dents. Nous cheminons à 3 avec Stéphane et Yvann. Nous nous soutenons. il reste encore 40 km. Cela devient difficile de courir, surtout en descente. Yann quant à lui semble encore galoper comme un cabri. Arrive le ravitaillement du Perthus (70km), en mode robot, boire manger repartir… aïe bobo les pieds. On débranche le cerveau pour tenir. Quelques SMS d’encouragement des proches sont toujours bons à prendre.   Au ravitaillement de Cayla (84km), je pense réellement à jeter l’éponge. L’idée me trotte dans la tête depuis pas mal de kilomètres maintenant. Mon téléphone ayant sonné lorsque je courrais, je vérifie mes message : Ma sœur m’annonce qu’elle part de Lyon pour venir me voir, elle m’attendra au ravitaillement de St Simon (Petit clin d’œil familial). Pas le choix, je continue … Nous nous faisons rattraper par un autre groupe de l’AS Orange. Pour ma part, pas possible de les suivre. Au ravitaillement de de St Simon (95km), ma sœur est là avec son ami. Nous discutons, mais pas trop longtemps sinon on ne repart plus. Ils ont décidé d’aller m’attendre à l’arrivée. Il faut donc finir, j’ai la pression ! -Ravito de St-Simon- Nous nous rapprochons d’Aurillac, les premier lotissements, on se dit que c’est la fin. En fait non, on nous a réservé une dernière petite douceur. Il faut remonter au puy Courny puis redescendre vers Aurillac. Au puy Courny, lors d’un passage de clôture, je me prends un gros coup de bourre… là y’en a marre, plein le c.. ! Nous devons rallumer les frontales, la nuit tombe. Je ne pensais pas avoir besoin de ressortir la lampe du sac. Nous redescendons vers Aurillac, mais pas par les chemins les plus courts il me semble. J’ai l’impression qu’on nous balade un peu. Nous passons dans des parcs, nous escaladons des chevalets pour franchir des clôtures (alors qu’on a déjà plus de 100 bornes dans les jambes et qu’il fait nuit.)   Enfin l’arrivée Enfin le bruit de l’arrivée et de la sono se fait plus fort, nous sommes tout proche. Sur le côté j’aperçois Guy, déjà changé et tout propre. Une fraction de seconde je me dis : “Il nous a doublé, on ne l’a pas vu et il a même eu le temps de prendre sa douche”.  Sans doute un manque de lucidité sur le coup. Je me reprends en me disant que c’est Guy quand même ! Il a seulement dû abandonner.   ;o) Quelques dizaines de mètres et nous franchissons la ligne d’arrivée, fin de notre “calvaire” en 22h42. Ma sœur m’y attend et nous retrouvons d’autres coureurs du groupe.   -Yvann, Seb, Stéphane : pas mal de km faits ensemble- Je consulte une podologue pour mes pieds. Diagnostic : c’est une macération de la plante des pieds à cause des chaussures mouillées. La peau est devenue toute molle, blanche et fripée. C’est très douloureux, mais il n’y a rien à faire d’autre qu’attendre. A côté de ça, les 2 petites ampoules qu’elle me soigne ne me gênaient pas du tout.   Nous dégustons la truffade locale et nous admirons notre “super” cadeau finisher : un “magnifique” béret noir, que je ne pense pas remettre de sitôt. (ou alors seulement lors de soirées costumées). De retour à l’internat, la douche fait un bien fou, mais c’est surtout mon lit que j’attends avec impatience. Nous sommes déjà debout depuis plus de 24h, avec une nuit blanche et une journée pas vraiment reposantes :o) Le dimanche, il faut déjà penser au retour. Petit déjeuner avalé et sac bouclé, nous reprenons le chemin de la Bretagne. Nous faisons quelques pauses sur la route pour nous reposer et nous restaurer. Je pense que les personnes croisées sur les aires d’autoroute ont dû nous trouver étranges avec nos démarches de cowboy. J’aurai pas mal de courbatures les jours suivants, mais bizarrement, elles disparaitront assez rapidement, me permettant de recourir le vendredi suivant. A part une grosse fatigue générale, pas de blessure à déplorer. (Je verrai juste la peau de mes plantes de pieds partir petit à petit en lambeaux, les semaines qui suivent) Fin du récit     J’aurai beaucoup utilisé le “nous” dans ce récit : je ne pense pas que j’aurais pu arriver au bout de la course sans le soutien de Stéphane et Yvann. Le terme course en équipe a vraiment pris tout son sens. Un grand merci également à Guy de nous avoir embarqué dans cette galère aventure. Il est à noter que nous avons pu profiter d’une super ambiance et d’une super organisation en nous intégrant à une groupe de l’AS Orange. Sur leur list ede diffusion, nous recevions tous les mails qu’ils échangeaient. On se demande s’ils arrivent à trouver du temps pour travailler. En finissant la course, je me suis dit “plus jamais ça”, mais finalement, le temps passant, je me dis “Pourquoi pas” …     Petite note aux coureurs : si dans vos chaussures de running, vous avez des semelles de propreté faites dans une sorte de mousse, sachez que c’est sans doute moelleux et très bien pour absorber un peu la transpiration quand il fait chaud, mais ça sèche très mal. Les semelles de base en “polystyrène”  blanc sèchent beaucoup plus vite car elles ne retiennent pas l’eau.  en savoir plus →

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Ils vont participer au Marathon de la vie !!!

Le marathon de la vie va se dérouler le 20 septembre prochain. Son but : soutenir les malades atteints par le cancer, c’est dire que tout le monde est concerné soit directement ou indirectement ! Le soutien financier va permettre d’offrir de meilleures conditions d’accueil et d’aide aux familles des malades ainsi qu’améliorer la vie à l’hôpital pour les malades. Courir pour cette bonne cause nous a paru évident pour les Cacous et nous sommes heureux de représenter notre association lors de cette course qui n’est pas du tout une compétition (il n’y a aucun chrono ) mais juste le plaisir de participer à cette journée de solidarité. Bruno  et Pascal feront le 8 km partant du centre Eugène Marquis jusqu’à St Jacques, un peu de ville avec les 3 km de prologue auquel participent des malades, puis 5 km par des sentiers tranquilles jusqu’au stade Allende où attendent les 2ème relais. Murielle et Pascal (il fait effectivement 2 étapes, soit 21km au total) parcourront les 13 km de St Jacques à St Erblon, en passant par Chartres de Bgne et Noyal/Chatillon dont la fameuse passerelle au-dessus de la 4 voies. A St Erblon les attendront les 3emes relais : Joelle , Bastien et Stephane courront les 13 km de St Erblon à Amanlis : petits sentiers et côtes sympathiques dans la campagne en passant par St Armel et Epron. Les derniers relais démarreront immédiatement : Nelly et Stéphane ( il parcourt 23 km sur les 2 dernières étapes ) termineront le marathon avec les 10 km jusqu’à Piré sur Seiche, en traversant le bourg d’Amanlis par de très beaux sentiers passant le long de la Seiche, la rivière dont plusieurs communes portent le nom. Vous pouvez venir les soutenir tout au long du parcours que vous retrouverez sur le site du marathon de la vie : www.marathondelavie.org L’arrivée se fera à Piré vers les 13h00 où tous les relayeurs se retrouveront pour passer la ligne d’arrivée ensemble,  moment fort en émotion quand on court pour une cause aussi importante. Les photos de cette manifestation suivront très prochainement !!!  en savoir plus →

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Rencontre inter-associations 29 mai 2015

Cette année , Nicolas avait préparé une rencontre différente en proposant des jeux de ballons : le tchoukball en première partie puis le kinball (photo ci-dessous). Moment de convialité entre 3 associations cornusiennes : le badminton, le volley et le CAC. Merci à Nicolas pour l’organisation des cette rencontre sympa.      en savoir plus →

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N’oubliez pas de vous inscrire…

Vu par Eric sur l’Ile de Ré… Le CAC est partout !!!  🙂  en savoir plus →

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Ticken trail : événement exceptionnel du CAC le 18 avril

Magnifique we pour l’évènement exceptionnel du club ! Gîte proche du départ de la course et accueillant tout le groupe : merci Virginie ! Parcours sympa dans les bois , sols souples couvert d’humus et de feuilles mortes mais toutefois semé d’embûches sous forme de racines, pierres, ruisseaux, creux et bosses, troncs d’arbres à enjamber (n’est ce pas Gaby)… Beaux paysages le long du canal, avec des fleurs ( violettes, ajoncs, boutons d’or, cardamines des prés, jacinthes des bois …),des troncs couverts de mousse, l’écluse de la maclais et le saut de Tarzan où certain(e)s ont mouillé leurs chaussures, les chemins “brise-pattes” dont on comprend fort bien le nom quand on y arrive …On a pu croiser aussi des chevreuils au détour d’un bois. Certains ont eu le bonheur de rincer leurs chaussures en passant sous le pont puis de passer par le moulin de la Patouillette dans le petit tunnel humide…Quelques km et l’arrivée bien méritée , saluée par nos cacous et les accompagnants : cela fait plaisir ! Nos cacous ont tous atteint leur objectif et ont vaillamment défendu les couleurs du club dans la douleur mais avec le sourire ! Bravo à notre champion Pascal et à tous les autres bien entendu ! Soirée conviviale pour arroser ces belles courses… Dimanche sous le soleil : le matin, certains ont pris leur vélo pour parcourir les sentiers (même pas fatigués de leur course de la veille !) , d’autres ont marché le long du canal de Nantes à Brest : quel plaisir d’être ensemble ensuite autour du barbecue (merci à nos grilleurs , Bruno et Stéphane ) , avec un verre de vin ou de bière ! CE TRAIL A ETE UNE VRAIE REUSSITE !!! Le film de cette belle course Toutes les photos : Cliquer sur l’image pour voir toutes les photos    en savoir plus →

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La traversée de Paris…

Les 3 cacous en liste au départ du Marathon de Paris, prêt à en découdre avec les 54 000 participants 3:50:42 pour Eric qui a quand même doublé près de 14000 participants après un départ prudent (ce qui ne lui ressemble pas vraiment…) 4:08:26 pour le team Isa-YannickBravo à tous les 3 !!!    en savoir plus →

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Happy Birthday Mister Président !

Ce soir , en toute intimité , notre cher président a fêté son anniversaire : nous ne dévoilerons pas le nombre de ses années , en égard à son  grand âge !… Nous lui souhaitons beaucoup de bonheur avec sa chère Chrystelle, du plaisir dans les courses à venir ( il s’est inscrit au trail d’Auvergne en juin prochain : 105 km quand même ! ), une forme olympique et surtout de garder toujours ce grand sourire ! Nous comptons bien arroser cela prochainement ! Sur ces photos , nous pouvons constater qu’il surveille la pousse de son maïs pour ses cigarettes , qu’il débroussaille à grands coups de faucille, qu’il met du rose … uniquement dans le Finistère ,là où on ne le verra pas !…qu’il se prend pour le grand chef ( mais , là , il faut reconnaitre , ses plumes tenaient mieux que certains ( n’est-ce pas ,Arnaud ?) et qu’enfin il court pour défendre fièrement les couleurs de son club préféré : le CAC ! JOYEUX ANNIVERSAIRE MONSIEUR LE PRESIDENT ! JOYEUX ANNIVERSAIRE GUY ! BISES  en savoir plus →

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