Récit de course UTPMA 2015

septembre 30, 2015 by  
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Récit de course de l’Ultra Trail du Puy Mary : ici

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Un coach et son Filleul : Guy & Bruno

septembre 28, 2015 by  
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Guy s’est engagé auprès de Bruno pour le soutenir dans le défi que celui-ci s’est lancé : “courir sur des courses un peu plus longues”, il a cependant déjà fait plusieurs 10 km. Au programme à venir : VERN SUR SEICHE course nature de 15km le 13 décembre,  puis le trail d’Angers début juin avec 19 km. Des buts à atteindre qui sont autant de motivations. Avec l’aide de Guy, Bruno ne peut que progresser, un peu de souffrance (on n’a rien sans mal…) mais surtout beaucoup de plaisir !!!

1er entrainement, tour du lac de Trémelin : terrain facile, pas de dénivelé (ou très peu)

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Temps frais mais ensoleillé, les conditions idéales pour débuter !

Affaire à suivre…

 

Récit de course : UTPMA 2015

septembre 28, 2015 by  
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Après de nombreuses demandes, voici un compte rendu sur l’UTPMA 2015, (du moins, ma vision et mon ressenti).

Inscription

L’aventure commence fin 2014, lorsque notre bon président (Guy C.) propose de participer avec lui, à un Ultra en Auvergne  (UTPMA 105km 5600m D+ ). Pour lui, ce ne sera qu’une course préparatoire en vue de participer au Trail bourbon à la Réunion. Pour nous (Stéphane B. et moi-même) ce serait notre 1er ultra à 3 chiffres.

parcours

UTPMAdenivele
Personnellement, j’hésite quand même avant de m’inscrire, la distance et le dénivelé annoncés (105km pour 5600m D+) me font un peu peur. Grosse question existentielle.
Comme en course à pied  il ne faut pas trop réfléchir : je m’inscris d’abord, pour le reste je verrai plus tard.
L’inscription est faite dès mi-décembre, nous sommes donc 3 cacous inscrits à challenge, accompagnés par une grosse délégation de l’AS Orange Cesson. (C’est d’ailleurs eux qui se chargeront d’une grosse partie de la logistique comme l’hébergement, la réservation de resto… et là je dois dire que c’est royal ! Tout ça sans compter la super ambiance du groupe ! )

 

Préparation

Le plus facile est fait, il ne reste plus qu’à courir maintenant. La course à lieu le 20 Juin 2015, il reste 6 mois de préparation pendant lesquels nous réaliserons quelques courses préparatoires Trail des corsaires (64km), Trail des 3 chapelles (43km), Trail de Guerlédan (56km) ainsi que pas mal de séances longues. Beaucoup de kilomètres en perspective.
Fin Mai 2015, malgré les courses réalisées et les kilomètres parcourus à l’entrainement, je ne sais toujours pas comment je pourrai parcourir 105km (sans compter le dénivelé qui me parait énorme).

En juin, l’échéance se rapproche et la pression monte d’autant. Le matériel est prêt depuis quelques temps, mais la question  “bâtons ou pas” se pose encore.
Je décide finalement d’en acheter même si je ne sais pas m’en servir. Je n’aurai pas le temps de faire de séance spécifique pour apprendre. On verra sur place…
De toute façon, depuis début juin, ce n’est pas mon problème principal. Je ne sais finalement pas si je pourrai participer à la course car une douleur au pied m’empêche de courir. C’est donc repos obligatoire et une question qui me taraude : Est-ce vraiment la peine d’aller jusqu’à Aurillac pour ne finalement pas courir?

Poussé par mes 2 compères, je décide tout de même de faire le voyage et de tenter de prendre le départ, mais sans être vraiment convaincu. Je me dis que je profiterai tout de même de l’ambiance.

 

L’avant course

Nous partons la veille pour un périple d’un peu plus de 600km. A 4 dans la voiture, (Guy C., Stéphane B., Yvann un ami de Guy et moi-même), l’ambiance est bonne, ça commence déjà à se chambrer avec d’autres coureurs de l’AS Orange.
Nous arrivons en fin d’après-midi à Aurillac. Nous retrouvons certains groupes de l’AS Orange déjà arrivés à l’internat où nous serons logés et nourris quelques jours.
A l’heure du repas, nous dinons au relais d’Alsace à Aurillac. Ah l’Alsace! Bien connue pour ses spécialités diététiques. Au menu pâtes et bière (voir 2 bières et du vin pour certains). C’est l’heure des défis et des provocations entre coureurs. Les grandes gueules d’Orange sont en pleine forme.

De retour, à l’internat, il faut penser au repos : dernière nuit avant le départ.
Je ne sais pas si c’est la digestion, le stress ou les ronflements de Guy, mais je ne dormirai pas bien.
Au petit matin je me réveille complètement décalqué!
Après le petit déjeuner, nous partons chercher nos dossards au centre des congrès.
On nous y propose des dégustations de produits locaux : pâté et jambon.

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-Dossards-


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-Test du Podium : pas fait pour nous, trop bas de plafond-

Le déjeuner est dans la même lignée : bière et pizza.
Ah diététique quand tu nous tiens !

De retour à l’internat, l’heure de la sieste est vraiment la bienvenue. Repos obligatoire pour tout le monde. Je ne dors pas vraiment profondément, mais c’est toujours ça de pris.
Nous repartons ensuite pour le centre d’Aurillac et le briefing d’avant course, suivi de la traditionnelle pasta-party.

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-Briefing : chercher un crâne connu-

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-Pasta-party au soleil-

Ensuite c’est une longue attente avec le stress qui monte.

 

La course

Quelques temps avant minuit, nous rejoignons le départ en tenue, ça y est, nous y sommes. Nous sommes un peu plus de 500 à nous amasser sur la ligne de départ.
Je n’ai pas couru depuis 3 semaines, avec toujours cette douleur au pieds. Je ne sais pas jusqu’où je vais pouvoir aller J’espère au moins pouvoir rallier le 1er ravitaillement à 17km.

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-Avant le départ-

A minuit, compte à rebours et départ.
Je ne m’enflamme pas, je laisse filer Stéphane, je ne pense pas, de toute façon, avoir ce qu’il faut pour le suivre.
Guy part à son rythme sans doute un peu derrière, je pense peut-être le revoir plus tard.
Je ne sens pas ma douleur au pied, mais je reste tout de même méfiant.
Nous laissons rapidement derrière nous les lumières d’Aurillac, et nous nous enfonçons dans la nuit, la lampe au front.
Si c’est la foule au départ, les écarts se creusent et l’on se retrouve rapidement en petits groupes plus réduits.

Quelques kilomètres passent. Nous sommes quelques fois obligés de passer par dessus des clôtures en escaladant des sortes de gros chevalets en bois. C’est lors d’un de ces passages que quelqu’un m’interpelle par derrière : “Ben qu’est ce que tu fais là mon Seb?”. C’est Stéphane que j’avais dû dépasser sans m’en rendre compte. (Un arrêt technique?)
Je reste donc avec lui. Nous passons rapidement le 1er ravitaillement à Velzic avec déjà 17km au compteur. Pour l’instant ça tient.

Nous avançons bien dans la vallée de la Jordane. De toute part, nous entendons l’eau ruisseler, sans doute à cause des pluies tombées la veille. Mes chaussures ne tardent pas à ressembler à des piscines.
En remontant sur les crêtes, nous enfilons nos vestes. Nous étions partis en T-shirt à minuit, mais en plein cœur de la nuit, le vent frais qui s’est levé nous oblige à nous couvrir.
Le terrain devient très très glissant et en descente cela devient vraiment casse-g…..

Nous arrivons au ravitaillement de Mandailles (37km) avec les premières lueurs du jour.
Nous courons depuis 5h40.
Nous nous ravitaillons un peu plus longuement. Le café chaud nous revigore.
Nous repartons et nous sortons les bâtons qui jusqu’à maintenant étaient restés accrochés sur le sac. Après Mandailles, ça monte sec  : une montée interminable de 800 D+ nous attend. Vitesse moyenne : 3.6km/h et même à ce rythme c’est dur! Même si je n’avais jamais utilisé les bâtons auparavant, je me rends bien compte de leur utilité dans de telles montées.

Maintenant que le jour est bien levé, nous pouvons enfin admirer les superbes paysages d’autant plus que nous suivons des crêtes en direction du puy Mary.

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Au pied du puy Mary (Pas de Peyrol), nous nous arrêtons un peu et nous retrouvons Yvann. Il semble moins bien dans les côtes mais très bon dans les descentes. Au final, nous nous suivons. Direction le sommet du puy Mary, puis le puy de Peyre Arse.

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A 55km, nous commençons la descente vers le Lioran. 500m D- sur 2.5km. Ouff, ça fait mal aux cuisses.
Nous arrivons à la station du Lioran (60km) avec son ravitaillement. Nous entendons la sono, c’est bon…. Et non, on nous renvoie sur une dernière grosse côte, sinon ce serait trop facile. Visiblement, le ravitaillement ça se mérite.
Nous nous ravitaillons bien et nous nous posons un peu. C’est bon, mais il est d’autant plus difficile de repartir. Nous courons depuis 11h, je n’avais personnellement jamais couru aussi longtemps, et j’ai sans doute déjà explosé mon record de D+ cumulé lors d’une course.

Nouvelle difficulté, nous devons monter au sommet du puy Griou puis redescendre. Cette partie s’apparentera plus à de l’escalade qu’à du trail. Je n’en ai toujours pas compris l’intérêt.

-Puy Griou-

Je commence à avoir vraiment très mal sous les pieds. (  J’aurais dû changer de chaussettes ? ;o)   ). En dévers et en descente la douleur empire. Je serre les dents.

Nous cheminons à 3 avec Stéphane et Yvann. Nous nous soutenons. il reste encore 40 km. Cela devient difficile de courir, surtout en descente. Yann quant à lui semble encore galoper comme un cabri.

Arrive le ravitaillement du Perthus (70km), en mode robot, boire manger repartir… aïe bobo les pieds. On débranche le cerveau pour tenir.

Quelques SMS d’encouragement des proches sont toujours bons à prendre.

 

Au ravitaillement de Cayla (84km), je pense réellement à jeter l’éponge. L’idée me trotte dans la tête depuis pas mal de kilomètres maintenant. Mon téléphone ayant sonné lorsque je courrais, je vérifie mes message : Ma sœur m’annonce qu’elle part de Lyon pour venir me voir, elle m’attendra au ravitaillement de St Simon (Petit clin d’œil familial). Pas le choix, je continue …

Nous nous faisons rattraper par un autre groupe de l’AS Orange. Pour ma part, pas possible de les suivre.

Au ravitaillement de de St Simon (95km), ma sœur est là avec son ami. Nous discutons, mais pas trop longtemps sinon on ne repart plus. Ils ont décidé d’aller m’attendre à l’arrivée. Il faut donc finir, j’ai la pression !

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-Ravito de St-Simon-

Nous nous rapprochons d’Aurillac, les premier lotissements, on se dit que c’est la fin. En fait non, on nous a réservé une dernière petite douceur. Il faut remonter au puy Courny puis redescendre vers Aurillac. Au puy Courny, lors d’un passage de clôture, je me prends un gros coup de bourre… là y’en a marre, plein le c.. !

Nous devons rallumer les frontales, la nuit tombe. Je ne pensais pas avoir besoin de ressortir la lampe du sac. Nous redescendons vers Aurillac, mais pas par les chemins les plus courts il me semble. J’ai l’impression qu’on nous balade un peu. Nous passons dans des parcs, nous escaladons des chevalets pour franchir des clôtures (alors qu’on a déjà plus de 100 bornes dans les jambes et qu’il fait nuit.)

 

Enfin l’arrivée

Enfin le bruit de l’arrivée et de la sono se fait plus fort, nous sommes tout proche. Sur le côté j’aperçois Guy, déjà changé et tout propre. Une fraction de seconde je me dis : “Il nous a doublé, on ne l’a pas vu et il a même eu le temps de prendre sa douche”.  Sans doute un manque de lucidité sur le coup. Je me reprends en me disant que c’est Guy quand même ! Il a seulement dû abandonner.   ;o)

Quelques dizaines de mètres et nous franchissons la ligne d’arrivée, fin de notre “calvaire” en 22h42. Ma sœur m’y attend et nous retrouvons d’autres coureurs du groupe.

 

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-Yvann, Seb, Stéphane : pas mal de km faits ensemble-

Je consulte une podologue pour mes pieds. Diagnostic : c’est une macération de la plante des pieds à cause des chaussures mouillées. La peau est devenue toute molle, blanche et fripée. C’est très douloureux, mais il n’y a rien à faire d’autre qu’attendre. A côté de ça, les 2 petites ampoules qu’elle me soigne ne me gênaient pas du tout.

 

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Nous dégustons la truffade locale et nous admirons notre “super” cadeau finisher : un “magnifique” béret noir, que je ne pense pas remettre de sitôt. (ou alors seulement lors de soirées costumées).

De retour à l’internat, la douche fait un bien fou, mais c’est surtout mon lit que j’attends avec impatience. Nous sommes déjà debout depuis plus de 24h, avec une nuit blanche et une journée pas vraiment reposantes :o)

Le dimanche, il faut déjà penser au retour. Petit déjeuner avalé et sac bouclé, nous reprenons le chemin de la Bretagne. Nous faisons quelques pauses sur la route pour nous reposer et nous restaurer. Je pense que les personnes croisées sur les aires d’autoroute ont dû nous trouver étranges avec nos démarches de cowboy.

J’aurai pas mal de courbatures les jours suivants, mais bizarrement, elles disparaitront assez rapidement, me permettant de recourir le vendredi suivant. A part une grosse fatigue générale, pas de blessure à déplorer. (Je verrai juste la peau de mes plantes de pieds partir petit à petit en lambeaux, les semaines qui suivent)

Fin du récit

 

 

J’aurai beaucoup utilisé le “nous” dans ce récit : je ne pense pas que j’aurais pu arriver au bout de la course sans le soutien de Stéphane et Yvann. Le terme course en équipe a vraiment pris tout son sens. Un grand merci également à Guy de nous avoir embarqué dans cette galère aventure.

Il est à noter que nous avons pu profiter d’une super ambiance et d’une super organisation en nous intégrant à une groupe de l’AS Orange. Sur leur list ede diffusion, nous recevions tous les mails qu’ils échangeaient. On se demande s’ils arrivent à trouver du temps pour travailler.

En finissant la course, je me suis dit “plus jamais ça”, mais finalement, le temps passant, je me dis “Pourquoi pas” …

 

 

Petite note aux coureurs : si dans vos chaussures de running, vous avez des semelles de propreté faites dans une sorte de mousse, sachez que c’est sans doute moelleux et très bien pour absorber un peu la transpiration quand il fait chaud, mais ça sèche très mal. Les semelles de base en “polystyrène”  blanc sèchent beaucoup plus vite car elles ne retiennent pas l’eau.

Pub : le vin du coureur à pied

septembre 28, 2015 by  
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Le vin pour tous les coureurs à pied : trop drôle ce nom et, ma foi, bien bon ,ce vin ! Avis aux amateurs !

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les photos du MARATHON DE LA VIE

septembre 28, 2015 by  
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Comme promis voici les photos des Cacous courant lors de cette journée ensoleillée

Départ au Centre Eugène Marquis

1 DEPART MARATHONBruno et Pascal portant le tee-shirt jaune vont démarrer et rejoindre la 2eme étape à St jacques

Bruno est un peu fatigué et passe le relai à Murielle.PASSAGE DE RELAI 1 à 2 Pascal continue sur cette 2éme étape jusqu’à St Erblon

3 passage de relais 2 à 3Murielle et Pascal passent le relai à Joëlle , Bastien et Stéphane.

2 coureurs 3eme et 4eme relais

Nelly les avait retrouvés et elle va les attendre à la dernière étape.

Tout le monde se retrouvera à Piré pour parcourir les derniers mètres ensemble.4 ARRIVEE MARATHON 15 ARRIVEE MARATHON 2

BELLE COURSE POUR UNE BONNE CAUSE : LE PROCHAIN DEFI SERAIT DE FAIRE PLUS D’EQUIPES COURANT EN GROUPE TOUT AU LONG DU PARCOURS : PRETS POUR 2016 ?

Le Pique-Nique au lac de TREMELIN.

septembre 27, 2015 by  
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En cette belle journée du 27 septembre, les CACOUS  se sont donnés rendez vous au Lac de TREMELIN.

Ils ne sont pas partis retrouver Merlin, ni la Dame du Lac, ni partis à la quette du GRAAL, et encore moins tenter de retirer Excalibur l’épée magique du légendaire roi Arthur.

Non rien de cela n’était au programme, juste un bon moment de convivialité, de bonne humeur, de quelques verres échangés, de Saucisson a L’ail, sans oublier le chocolat et de bons Gâteaux ( Un Far Breton…….qui en dit long).

Après avoir bien mangé sans abuser (sportifs et sportives obligent !!!), la panse bien remplie par ces bons mets, certains s’en sont allés se promener sur les sentiers, pendant que d’autres tentèrent d’imiter les écureuils en s’adonnant à l’accrobranche.

Ils passaient d’arbres en arbres. On pouvait entendre le sifflement de tyrolienne et une légère brise dans les feuilles et épines de nos fières partenaires de jeux.

Entre Pins et Chêne Pédonculé que l’on soit au sol ou bien perché, ce fût une bien belle journée.

Merci à tous.

A l’heure tardive ou cet article est écrit, la forêt que nous avons quittée n’appartient plus qu’aux écureuils, cervidés et hiboux, Alors à bientôt les Cacouuuuus !!!

Le ménestrel.

Footing du samedi matin : c’est reparti !

septembre 21, 2015 by  
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C’est sous un beau soleil que les coureurs se sont retrouvés : habitués ou débutants ont filé sur les chemins cornusiens avec le plaisir des retrouvailles et Tara le chien partageait ce plaisir, croyez-moi !

Nous comptons bien poursuivre tous les samedis et les débutants vont vite progresser !

Venez nous rejoindre le samedi départ 9h30 au terrain de foot

Ils vont participer au Marathon de la vie !!!

septembre 18, 2015 by  
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Le marathon de la vie va se dérouler le 20 septembre prochain. Son but : soutenir les malades atteints par le cancer, c’est dire que tout le monde est concerné soit directement ou indirectement !

Le soutien financier va permettre d’offrir de meilleures conditions d’accueil et d’aide aux familles des malades ainsi qu’améliorer la vie à l’hôpital pour les malades.

Courir pour cette bonne cause nous a paru évident pour les Cacous et nous sommes heureux de représenter notre association lors de cette course qui n’est pas du tout une compétition (il n’y a aucun chrono ) mais juste le plaisir de participer à cette journée de solidarité.

Bruno bruno et PascalPascal feront le 8 km partant du centre Eugène Marquis jusqu’à St Jacques, un peu de ville avec les 3 km de prologue auquel participent des malades, puis 5 km par des sentiers tranquilles jusqu’au stade Allende où attendent les 2ème relais.
Murielle murielleet Pascal (il fait effectivement 2 étapes, soit 21km au total) parcourront les 13 km de St Jacques à St Erblon, en passant par Chartres de Bgne et Noyal/Chatillon dont la fameuse passerelle au-dessus de la 4 voies. A St Erblon les attendront les 3emes relais :
Joelle joelle, Bastienbastien 1 et Stephane stephane 1courront les 13 km de St Erblon à Amanlis : petits sentiers et côtes sympathiques dans la campagne en passant par St Armel et Epron. Les derniers relais démarreront immédiatement :
Nelly nellyet Stéphane ( il parcourt 23 km sur les 2 dernières étapes ) termineront le marathon avec les 10 km jusqu’à Piré sur Seiche, en traversant le bourg d’Amanlis par de très beaux sentiers passant le long de la Seiche, la rivière dont plusieurs communes portent le nom.
Vous pouvez venir les soutenir tout au long du parcours que vous retrouverez sur le site du marathon de la vie : www.marathondelavie.org
L’arrivée se fera à Piré vers les 13h00 où tous les relayeurs se retrouveront pour passer la ligne d’arrivée ensemble,  moment fort en émotion quand on court pour une cause aussi importante.
Les photos de cette manifestation suivront très prochainement !!!

Retour à la PPG

septembre 16, 2015 by  
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Mardi 15 septembre, reprise de la PPG !

Quel bonheur de revoir les copains et les copines après les vacances et bien sûr notre cher encadrant Nicolas !

Après 10 minutes de course tranquillou dans le bourg pour s’échauffer, Nicolas nous explique les différents ateliers : du gainage, du travail sur les groupes musculaires des cuisses, du gainage, des sauts, du gainage… bref, vous l’avez compris : des exercices à priori pas très attractifs (personnellement , impossible d’imaginer le faire seule à la maison !) mais qui se font sans problème dans la bonne humeur et même en rigolant !

Méfiez-vous car bien qu’ayant l’impression de ne pas faire beaucoup d’effort lors de certains ateliers, les courbatures du lendemain vous prouvent le contraire ! Au fil des séances , on sent la progression , une meilleure résistance, moins de courbatures.

Ces exercices sont profitables pour les coureurs mais aussi pour les autres dans la mesure où l’on se muscle l’ensemble du corps.

Les séances ont lieu de 19h à 20h à la salle de sport ou sur le terrain de foot si la météo est clémente. Il est possible de venir tout au long de l’année, si l’on est inscrit bien sûr.

Venez rejoindre le groupe des PPGistes sympathiques !